Le 20 juin dernier, Emmanuel Macron a demandé qu'un temps d'échange sur le racisme et l'antisémitisme soit organisé dans les écoles, suite au viol d'une jeune fille de 12 ans à Courbevoie. Depuis plusieurs années, le corps enseignant est sollicité pour multiplier ces temps de dialogue en classe afin d'évoquer des événements violents, au lendemain d'attentats par exemple. Mais les professeurs expliquent souvent se sentir isolés et démunis lorsqu'il s'agit d'évoquer ces sujets et d'accueillir la parole des élèves.
